Olivier Clerc : « Le pardon est un cadeau qu’on se fait à soi-même »

Olivier Clerc : « Le pardon est un cadeau qu’on se fait à soi-même »

Le développement personnel, c’est son rayon. Auteur de 19 livres avec des traductions dans une quinzaine de langues, Olivier Clerc vient à La Réunion pour animer deux conférences gratuites les 21 et 22 mai prochains*.  Au menu, deux thèmes qui lui sont chers : « Guérir les blessures du cœur : la voie royale du pardon » et « Les Quatre Accords Toltèques : une chevalerie relationnelle ». Entretien.

Apressi : Quel impact a eu sur vous la lecture des Quatre Accords Toltèques de Don Miguel Ruiz, ce best-seller que vous avez traduit ? Et sa rencontre ?

Olivier Clerc : J’ai tout de suite su que c’est le genre de livres qu’on ne découvre qu’une fois tous les 20 ans (au mieux) dans une vie d’éditeur. Une perle ! Un ouvrage qui allie une très grande simplicité dans la forme à une grande profondeur dans le fond. C’est ce qui lui a valu d’être le plus étonnant best-seller que je connaisse qui, depuis 20 ans, vend plus d’exemplaires chaque année que l’année précédente. Il est traduit dans 40 langues et touche désormais des populations de plus en plus larges, alors qu’au début ce sont surtout les gens branchés spiritualité et développement personnel qui s’y intéressaient. Même Guillaume Canet y fait plusieurs gros clins d’œil dans Les petits mouchoirs !

Quant à ma rencontre avec don Miguel, en septembre 1999 à Teotihuacan (Mexique), elle a marqué l’un des grands tournants de ma vie. L’expérience de pardon qu’il m’a fait vivre a non seulement transformé mon existence, mais elle m’a inspiré dix ans plus tard un livre, Le Don du Pardon, puis un atelier du même nom, puis encore la création des Cercles de Pardon qui touchent aujourd’hui des milliers de gens dans une quinzaine de pays à ce jour. Miguel a semé une graine dans mon jardin intérieur que j’ai patiemment cultivée pour pouvoir ensuite en retransmettre les fruits, le moment venu.

Vous faites un parallèle entre accords toltèques et chevalerie, pourquoi ?

Depuis toujours, je pense en images, en allégories et métaphores (…). Lorsque j’ai découvert les accords toltèques, j’ai tout de suite réalisé que ces accords avaient leur exact équivalent dans l’attirail du parfait chevalier : l’épée, pour la parole impeccable ; le bouclier, pour ne pas prendre les choses personnellement ; et ainsi de suite. J’ai utilisé ce parallèle à la fois pour créer Le Jeu des Accords Toltèques, en partenariat avec Mark Kucharz, et pour rédiger Les accords toltèques : une chevalerie relationnelle, paru aussi chez Trédaniel.

À noter : cette approche parle beaucoup aux enfants ! Le petit dessin animé Chevalier des temps modernes, qu’on trouve gratuitement sur Viméo, réalisé par Mélissa Monnier, est directement inspiré de mon livre. Il a déjà été vu 400’000 fois ! Des institutrices s’en servent pour aborder ces notions avec les enfants. En Haïti, l’une d’elles en a même fait un petit livret pour les enfants, traduit en … créole ! Il est d’ailleurs question d’en faire un livre : Mélissa et moi travaillons sur ce projet.

De quatre accords toltèques, on est passé à cinq…

Les quatre premiers accords, parus à l’origine en français en 1999, sont :

  • Que ta parole soit impeccable.
  • Quoi qu’il arrive, n’en fais pas une affaire personnelle.
  • Ne fais pas de suppositions.
  • Fais toujours de ton mieux.

Dix ans plus tard, don Miguel, aidé par son second fils don José, a publié le cinquième accord toltèque (…). « Soyez sceptique, mais apprenez à écouter ». Ne croyez pas tout ce qu’on vous raconte… mais écoutez quand même. Écoutez vraiment. Avec discernement.

Les comprendre est relativement facile. Mais qu’en est-il de la mise en pratique ? 

La pratique, c’est justement ce qui m’obsède, figurez-vous ! Car, sinon, à quoi servent les livres de spiritualité ou de développement personnel ? C’est ce qui m’a conduit à créer le Jeu des Accords Toltèques, justement. C’est une façon ludique de mettre en pratique ces accords, avec un jeu de société, pour transformer les relations qui nous posent problème. C’est d’ailleurs en animant une partie de ce jeu en septembre dernier, à Saint-Paul, que j’ai été invité à revenir en mai à la Réunion pour présenter ces accords et ce jeu dans le milieu professionnel.

Parallèlement, j’ai aussi créé un webinaire (un séminaire sur le web) sur les accords toltèques, en huit soirées de deux heures, qui est un formidable moyen d’apprendre à mettre en pratique ces accords toltèques. N’importe qui peut le suivre depuis chez soi, sur la plateforme Émergences Formation créée par Jean-Jacques Crèvecoeur, un ami de longue date. C’est à ce jour l’un des meilleurs moyens pour apprendre à appliquer très concrètement ces accords dans sa vie quotidienne et dans ses relations.

Pensez-vous que ce code de conduite devrait être enseigné à l’école ?

Il l’est déjà dans certaines, en l’occurrence. Je pense qu’il pourrait beaucoup aider les jeunes, notamment au moment du collège, où non seulement la parole n’est pas très « impeccable », mais où l’on tend à prendre tout personnellement. Ces accords ne nécessitent l’adhésion à aucune croyance, aucun dogme. On peut les pratiquer qu’on soit chrétien, athée, bouddhiste ou musulman. Aujourd’hui, Miguel Ruiz dit dans ses conférences que « toltèque » veut simplement dire « artiste » : être toltèque, c’est simplement s’efforcer de faire de sa vie une œuvre d’art, quelque chose de beau.

Parmi les règles figure celle de « Toujours faire de son mieux ». Vous dites aussi qu’il ne faut pas faire « plus que son mieux », dites-nous en plus… 

Oui, le quatrième accord dit : « Fais toujours de ton mieux. » Cela veut dire : évite les deux pièges qui consistent à vouloir faire soit moins que son mieux, soit davantage. Moins que son mieux, c’est le piège du laxisme. Je me la coule douce, je me la joue pépère… et au final, je n’obtiens pas les résultats voulus, ce qui m’expose aux regrets, aux remords, donc à la division intérieure. Plus que son mieux, c’est le piège du perfectionnisme. On n’est jamais satisfait, on en fait trop, on ne respecte pas son organisme, on s’épuise… et on finit en burn-out, en surmenage, quitte à retomber loin en dessous de son mieux. « Faire de son mieux », c’est évaluer ce mieux-là au jour le jour, en fonction des forces physiques, affectives et mentales dont on dispose. Ce n’est pas un antidote à l’échec : c’est un remède aux regrets, au jugement de soi, aux remords. Et, paradoxalement, pour ceux qui ont tendance à toujours faire plus que leur mieux, jusqu’à l’épuisement, faire de leur mieux signifie… en faire moins ! Étonnant, non ? (…) Pour qui en fait déjà trop, au détriment de son équilibre, de ses forces et sa santé, la seule façon de mieux faire c’est d’en faire moins ! Tôt ou tard, si on en fait trop, on en paie le prix, qui est toujours plus élevé que l’énergie dépensée à faire de son mieux, jour après jour.

Respecter ces cinq règles suffit-il à avoir des relations sereines avec les autres ?

Incontestablement ! Et pas qu’avec les autres, avec soi-même aussi. Mais il ne faut pas se mentir. Parvenir à mettre en pratique ces cinq accords demande un entraînement aussi régulier que pour devenir ceinture noire de karaté ou virtuose du piano. Nous trouvons normal de passer dix ans à maîtriser un art martial ou un instrument de musique. Mais parfois, nous espérons qu’un stage d’un week-end va nous permettre de changer définitivement des habitudes relationnelles, des façons de penser ou d’aimer qui datent de plusieurs décennies en nous ! Soyons réalistes ! Si nous y mettons la même énergie que pour le sport ou les arts, nous obtiendrons progressivement les mêmes résultats. Comme je le dis dans mes ateliers : « Dans trois ans, vous serez ceinture verte de bienveillance ; dans cinq ans, ceinture bleue de gratitude ; et dans dix ans, ceinture noire de pardon, de sérénité intérieure ou que sais-je ! ». (…)

Tout s’apprend. Pas seulement la géographie, les maths, le latin et le grec. On peut apprendre à se connaître, développer le discernement, savoir atteindre et maintenir un état intérieur équilibré, serein, épanoui. Apprendre à gérer les conflits. À identifier et exprimer ses émotions. Il n’y a rien à inventer, d’ailleurs. Les outils, les méthodes sont là. Il faut simplement les démocratiser, les faire connaître, les enseigner le plus tôt possible.

Vous estimez que le pardon est mal défini. Alors qu’est-ce que le pardon ? Qu’est-ce que ça n’est pas ?

Oui, le pardon fait partie de ces notions, comme l’amour, la liberté, la vérité ou même Dieu, dont il existe autant de définitions que de personnes, ou presque ! On croit parler de la même chose parce qu’on utilise le même mot, mais en réalité, selon qu’on a eu des parents catholiques, athées, bouddhistes, psy, philosophes ou taoïstes, cela peut vouloir dire des tas de choses différentes. J’ai donc écrit Peut-on tout pardonner ? 6 ans après Le Don du Pardon pour clarifier cette notion : pour à la fois la redéfinir, mais aussi préciser tout ce qu’elle n’est pas !

La définition la plus simple que je donne du pardon, c’est : la guérison des blessures du cœur. Car nous avons tous le cœur plus ou moins blessé, suite à ce que nous avons vécu dans l’enfance, l’adolescence ou plus tard. Ces plaies nous empêchent d’aimer pleinement. Elles nous enferment dans un passé qui n’est toujours pas apaisé. Elles se rouvrent à la moindre occasion, elles font de nouveau mal, saignent de nouveau, symboliquement parlant.

Comment les guérir ? Comment retrouver un cœur pleinement libre et aimant ? C’est le cadeau que peut nous faire le pardon. Et en particulier cette approche que je transmets et que l’on peut vivre dans un Cercle de Pardon[1].

Mais je m’empresse aussi de préciser tout ce que le pardon n’est pas, sans quoi il reste inenvisageable pour beaucoup d’entre nous. Comme je le dis dans la liste des 15 obstacles principaux au pardon, dans mon livre : pardonner, ce n’est pas cautionner (jamais !). Pardonner, ce n’est pas forcément se réconcilier. Pardonner, ce n’est pas non plus oublier (c’est plutôt ôter la charger émotionnelle associée à un événement douloureux). Je ne promeus par un pardon victime, un pardon martyre, un pardon paillasson ! On peut à la fois pardonner… et porter plainte. Parce qu’on peut à la fois souhaiter guérir son cœur, et avoir le discernement pour estimer nécessaire que celui qui nous a fait du tort ne recommence jamais et réponde de ses actes devant la justice. Sauf que si le pardon est là, c’est la justice qu’on ira chercher au tribunal, et non plus la vengeance ! Une énorme différence !

Le pardon n’a rien à voir avec la religion ?

On peut accéder au pardon par la religion, et plusieurs d’entre elles lui réservent une place importante. Mais ce n’est pas obligatoire. Il existe aussi des approches laïques du pardon, comme celle que je transmets. L’important, pour moi, c’est que le pardon soit accessible à tous, sans nécessiter obligatoirement l’adhésion à telle religion, à telle philosophie, et sans non plus rejeter les voies religieuses et spirituelles qui y conduisent aussi.

La guérison du cœur, c’est comme la guérison du corps : tout le monde en a besoin. Que se passerait-il, s’il fallait être membre de telle religion pour cicatriser d’une coupure ou d’une fracture ? Beaucoup ne guériraient jamais !

Tout le monde est-il capable de pardon ?

« Capable », oui, je le pense sincèrement. Encore faut-il le vouloir, en avoir envie, y aspirer. On ne peut forcer personne sur ce chemin.

L’essentiel, je crois, pour donner envie aux gens de s’engager sur ce chemin, c’est qu’ils comprennent que c’est avant tout un cadeau qu’on se fait à soi-même ! C’est renoncer à souffrir, à savoir mal. C’est sortir son cœur de l’étau de la haine, du chagrin, du désespoir. C’est retrouver un cœur libre et aimant. On ne le fait pas pour les autres, au départ, mais pour soi.

Imaginez quelqu’un qui a été agressé dans la rue au couteau et qui dirait à son agresseur : « Jamais je ne cicatriserai ! Je vais rester là à saigner et à avoir mal ! Tu vas voir ce que ça va te faire !! ». On trouverait cela absurde, n’est-ce pas ? Eh bien, sans le savoir, c’est la même chose que nous faisons quand nous disons à ceux qui nous ont fait du mal : « Jamais je ne te pardonnerai ! Je vais continuer à être rongé par le ressentiment et la rage. Je vais m’autointoxiquer et me rendre malade, en somatisant mes émotions douloureuses. Bien fait pour toi ! ». En réalité, c’est nous-mêmes que nous détruisons. A l’inverse, le pardon rend libre. Et, une fois encore, il ne doit pas nous rendre vulnérables, fragiles : il peut être mis en œuvre parallèlement à un recours en justice.

Pourquoi pardonner ? Pardonner, est-ce forcément guérir ?

Pourquoi pardonner ? Que se passe-t-il dans le cas inverse ? Selon les recherches du Dr Fred Luskin, spécialiste du pardon à l’université de Stanford, les personnes qui n’arrivent pas à pardonner vont développer toutes sortes de pathologies : digestives, articulaires, musculaires… sans oublier tumeurs et cancers. Elles se rendent littéralement malades. En moyenne, dit-il, elles auront également une durée de vie de 5 ans plus courte que les autres. Cinq ans ! C’est beaucoup. Donc, on le voit bien, le pardon est d’abord et avant tout un cadeau qu’on se fait à soi-même. Demander « pourquoi pardonner », c’est comme demander « pourquoi cicatriser » : la réponse va de soi.

Est-ce forcément guérir ? Oui, le pardon apporte la guérison. Il permet d’aller de l’avant, de ne pas rester prisonnier du passé. Mais, de même qu’on garde parfois des cicatrices, après un accident physique, voire qu’on a pu perdre un organe ou un membre, il peut aussi rester des cicatrices émotionnelles, le souvenir de ce qu’on a vécu, mais ces cicatrices ne sont plus douloureuses. Si l’on a vécu des pertes, des deuils tragiques, le pardon ne nous rendra pas les personnes perdues, mais il nous permettra de revivre, de renaître à l’amour, de poursuivre notre route dans les meilleures conditions. C’est ce dont témoignent les personnes qui sont venues à nos Journées du Pardon, entre 2012 et 2016, et dont nous avons mis les témoignages en vidéo sur la chaîne YouTube de l’Association Pardon International. Leur parcours est à la fois bouleversant, très inspirant, et très porteur d’espoir.

Peut-on tout pardonner ?

Ah, c’est la grande question qu’on me pose tout le temps, et qui a donné son titre à mon second livre sur le sujet ! En réalité, comme je le démontre dans cet ouvrage, la question est mal posée. C’est une question qui découle d’une ancienne façon de comprendre le pardon, où celui-ci serait un cadeau que l’on fait à l’autre. Je propose donc à la fin de mon livre – attention, spoiler ! – de remplacer cette question par deux autres questions plus pertinentes selon moi :

  • « Est-ce que je peux guérir ? » Autrement dit, est-ce que je vais arriver à retrouver un cœur aimant, après ce qu’on m’a fait ? Est-ce que je peux ne pas passer le restant de mes jours dans la tristesse, la colère ou la haine ? Cette première question nous concerne nous : ce que nous voulons pour nous-mêmes.
  • « Qu’est-il juste de faire par rapport à ceux qui m’ont fait du mal ? » Cette deuxième question est essentielle, car elle concerne cette fois les autres. Il ne s’agit pas seulement pour moi de guérir, mais de déterminer comment éviter que cela se reproduise, et quelle suite éventuelle donner aux relations que j’avais avec ces personnes. Pouvons-nous nous réconcilier ? Faut-il plutôt que je cesse d’être en relation avec elles ? Ou dois-je carrément porter plainte contre elles ? Chaque cas est unique et différent.

Cette manière d’aborder le pardon englobe à la fois la tête (discernement) et le cœur (pardon), de même qu’elle intègre et différencie ce qui est bon pour moi et ce qui est juste pour l’autre. Elle est complète.

Vous proposez deux conférences à La Réunion. Que proposez-vous à ceux qui souhaitent aller plus loin ?

Le choix est riche ! J’ai écrit au moins trois livres sur ces sujets, si j’inclus J’arrête de (me) juger, entre mes deux titres sur le pardon. Je propose un webinaire en 12 soirées sur pardon et non-jugement, dans l’Académie du Développement Personnel créée par Peggy et Jeff. J’anime des ateliers Don du Pardon, sur deux jours, qui permettent d’aller plus loin que ce qu’on vit dans un Cercle de Pardon de 3h, comme ceux qui sont d’ailleurs animés à la Réunion par des personnes que j’ai formées. J’ai aussi ma propre chaîne YouTube sur laquelle il y a de très nombreuses vidéos gratuites, sur le pardon, sur les accords toltèques, sur les métaphores. Enfin, pour ceux et celles qui voudraient un jour franchir le pas, notre Association Pardon International propose deux fois par an une formation pour devenir à son tour animateur ou animatrice de Cercles de Pardon.

Quelque chose à ajouter ?

Oui, une grande nouvelle ! Nous lançons le 18 septembre la première Journée Internationale du Pardon, qui sera le prolongement naturel des Journées du Pardon que nous organisions en métropole autrefois. Il s’agit cette fois d’un événement qui se déroulera simultanément dans le plus grand nombre de pays que nous arriverons à mobiliser d’ici là, incluant toutes sortes d’approches du pardon, tant laïques que spirituelles ou religieuses. Il y aura des concerts, des méditations en ligne, des cercles de pardon, des soirées pardon radical, des conférences, des projections de films ou documentaires autour du pardon, et même une pièce de théâtre ! Les gens qui veulent proposer quelque chose ce jour-là peuvent nous contacter sur le site ci-dessous, et ceux qui veulent simplement y participer trouverons sur ce site où est organisé quelque chose à proximité de chez eux (ou en ligne). Nous espérons ensuite pérenniser cette journée, car la guérison des blessures du cœur est à mes yeux l’un des grands chantiers du XXIe siècle, si nous voulons progressivement sortir des violences et des conflits qui ravagent le monde.

Pour aller plus loin :

www.olivierclerc.com
www.cerclesdepardon.com
www.dondupardon.fr
www.journeeinternationaledupardon.org

[1] Pour trouver un Cercle de Pardon près de chez vous : www.cerclesdepardon.fr

Les dates et horaires des conférences :
* Le mardi 21 mai à 18h « Guérir les blessures du cœur : la voie royale du pardon »
Olivier Clerc commencera par définir la notion de pardon ainsi que sa pratique, tellement nécessaire à notre épanouissement personnel et collectif.
 
* Le mercredi 22 mai à 18h « Les Quatre Accords Toltèques : une chevalerie relationnelle » (« l’une de ses dernières conférences » + « Issu du best-seller mondial de Don Miguel Ruiz)
Olivier Clerc vise à faire de nous, des chevaliers relationnels, capables d’affronter toutes les situations humaines, y compris les plus difficiles, dans le respect de l’autre.
 
Lieu : La Crypte de La Mutualité de La Réunion 
Durée : 18h-20h30
Un petit cocktail clôturera chaque conférence 
Les deux conférences sont gratuites (entrée libre mais sur réservation puisque places limitées)
Réservation au 0262 947 700
Inscrivez-vous vite ➡️ https://cutt.ly/1t5cEg

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